Géorgie : des sextapes pour décrédibiliser les femmes politiques
Source: Courrier International
Publier des vidéos intimes d’élues est une arme assez répandue pour dissuader les femmes de se lancer en politique.
Alors que, depuis décembre 2018, la Géorgie est pour la première fois de son histoire dirigée par une femme, Salomé Zourabichvili, la “culture macho” du pays n’a pas disparu, constate Radio Free Europe. La mise en ligne d’une sextape d’Eka Besselia, députée du Rêve géorgien, le parti au pouvoir, a relancé le débat autour de cette pratique encore assez répandue dans le pays.
“Le recours à l’espionnage sexuel est une tactique bien rodée datant de l’ère soviétique, explique le média. En Géorgie, le gouvernement de Mikheïl Saakachvili – au pouvoir de 2007 à 2012 – a été accusé à maintes reprises de collectionner une quantité énorme de vidéos compromettantes dans lesquelles apparaissaient des membres de l’opposition [désormais au pouvoir].”
Cliquez ici pour lire l’article publié par Courrier International le 31 janvier 2019.
Publier des vidéos intimes d’élues est une arme assez répandue pour dissuader les femmes de se lancer en politique.
Alors que, depuis décembre 2018, la Géorgie est pour la première fois de son histoire dirigée par une femme, Salomé Zourabichvili, la “culture macho” du pays n’a pas disparu, constate Radio Free Europe. La mise en ligne d’une sextape d’Eka Besselia, députée du Rêve géorgien, le parti au pouvoir, a relancé le débat autour de cette pratique encore assez répandue dans le pays.
“Le recours à l’espionnage sexuel est une tactique bien rodée datant de l’ère soviétique, explique le média. En Géorgie, le gouvernement de Mikheïl Saakachvili – au pouvoir de 2007 à 2012 – a été accusé à maintes reprises de collectionner une quantité énorme de vidéos compromettantes dans lesquelles apparaissaient des membres de l’opposition [désormais au pouvoir].”
Cliquez ici pour lire l’article publié par Courrier International le 31 janvier 2019.